samedi 31 janvier 2015

Splash !


Relais et chateaux?

       Ne dirait-on pas une allée majestueuse menant vers quelque manoir?

Corvol- l'Orgueilleux

La gare de Corvol l'orgueuilleux est située sur l'ancienne ligne PLM Clamecy Nevers ouverte en 1877. La gare fermée aux voyageurs en 1938 a vu passer un petit trafic marchandises jusqu'en 2000. Une partie de ses emprises sont utilisées par une entreprise de transports routiers.

vendredi 30 janvier 2015

Dites aaahh...



  Le dépot de Nevers avait son centre médical ici.
  Le docteur n'y consulte plus....mais le terrain attenant  stocke encore quelques dizaines de vieux pneus, souvenir ( ou préparation?) des (prochains)  piquets de  grève.
Peut être comme celle-là...







mercredi 28 janvier 2015

Jeu d'eaux

Les murs de la piscine désaffectée... ont réuni les adeptes de l'eau salée comme ceux de l'eau chlorée.



mardi 27 janvier 2015

Relais saint.

Nevers, route de Fourchambault

   Dans les années 70 il y avait la une station-service ANTAR et un petit garage.  Un certain  DUCROT etait  propriétaire des murs ainsi d'une entreprise de livraison de charbon et de gaz. (elle etait installée  juste à côté, à l'emplacement actuel du Crédit Agricole )

samedi 24 janvier 2015

Au Bon Gite..

  La Route Buissonnière, illustrée par le lièvre de Charles Loupot, était conçue  comme une sorte d'itinéraire bis bucolique aux N6 et N7. Dans son souci d'éviter les grosses agglomérations, elle  emprunte la route Clamecy-Corbigny (ex N485), le long de l'Yonne.
  Passant dans le village de Flez-Cuzy, elle passe devant l'ancien Hotel Restaurant "Au Bon Gite" dont on remarquera l'architecture faite de de rehaussements (ou réaménagement) successifs témoins d'une fréquentation disparue.








Au fronton du restaurant,on retrouve l'ombre du fameux lièvre,( ou du fameux lapin, car il existe deux écoles pour qualifier le lagomorphe en question, créé en 1958).
... et qu'on distingue à droite sur cette photo des années 60 :




vendredi 23 janvier 2015

Noir et blanc

Ce panneau signalant la proximité d'un passage à niveau sur la ligne Clamecy - Cercy la-tour présente un look étrange avec sont fond sombre... sans compter qu'il se trouve non pas au bord de la route mais dans un chemin àgricole, à la sortie d'un pré....



mercredi 21 janvier 2015

Ailleurs

Au bout du chemin ( de fer...) ..toujours sur l'ancienne voie vers Entrains sur Nohain,


mardi 20 janvier 2015

Récup

Des tuiles de récupération, provenant probablement des batiments construits à la Jonction au début du 20ème siècle, ont servi à monter ce mur bicolore, non dénué d'une certaine préoccupation esthéthique



   NB: la partie en tuiles est ici principalement décorative, sa structure ne permettant pas de supporter la lourde charge d'une toiture
Une telle construction peut porter du poids, et notamment une couverture. si les tuiles sont suffisamment serrées,. Ici les piliers de brique semblent s'avérer nécessaires.
 
    En fermant le tout sur les deux fac
es par un enduit de chaux (donc respirant, surtout pas de ciment),  on obtient une isolation intéressante.
Jusqu'à l'entre deux guerres, ce moyen, très économique , a été largement utilisé, y compris pour des maisons d'habitations, dans bien des régionsau sol argileusx où se fabriquait de la tuile industrielle.

dimanche 18 janvier 2015

Commerce inoxydable.

Unr facade entièrement recouverte de plaques d'inox formé....Une technologie futuriste au service du boeuf de tradition....

Dornecy


samedi 17 janvier 2015

Trompe-l'oeil morvandiau.

Moulins-Engilbert compte plusieurs peintres en trompe-l’oeil célèbres dont Henri Cadiou, fondateur du  mouvement « trompe-l’oeil et réalité »,
  En septembre dernier, la commune a organisé  un festival du trompe-l’oeil. A cette occasion, une dizaine de peintres a orné la ville de fresques dont celle ; réalisée par  le peintre et illustrateur  Pascal Camacho.
Au balcon est représentée la nourrice, personnage emblématique  du Morvan, ainsi que  le peintre Henri Cadiou… le tout surmonté de  la charolaise... dans son oeil-de-boeuf.


vendredi 16 janvier 2015

REX


         Dans les années 20, la salle SAINT ELOI à Guérigny est d'abord une salle de patronage gérée par les religieux locaux. Puis on y organise des projections de films , en sus des lectures de poésie et des représentations théatrales .

Dans les années 40, la Société Immobilière de Nevers en devient propriétaire et va l'agrandir afin qu'elle deviennent une vraie salle de cinéma. Le projet est confié à deux ingénieurs alors en poste aux Forges de la Chaussade et la salle SAINT ELOI devient  alors le REX CINEMA, construit en 1946 dans le style "Art Déco tardif" que nous lui connaissons, et qui est constitué officiellement en 1950 en fond de commerce "Cinéma REX" .

  Les séances seront régulières jusqu'en 1968 quand le cinéma ferme définitivement ses portes: la salle retrouve alors pour un temps sa fonction religieuse en abritant des cours de catéchisme...
  La municipalité de Guérigny rachète le local et le terrain attenant à la Société Immobilière de Nevers 30 ans plus tard. Après d'important travaux de désamiantage en 2009 (le catéchisme dans l'amiante,..c'était mieux avant?..). le Cinéma REX rouvre en Juillet 2010 (avec la projection de "JOUR DE FETE" ) Depuis, à l'instigation de l'Association CINEREX, fondée en 2011, on peut y voir un ou deux films chaque année.

photo: Journal du Centre

dimanche 11 janvier 2015

Le petit oiseau est sorti

  Le photographe à déserté son magasin de Donzy pour se replier sur Cosne-sur Loire  en abandonnant son enseigne en bois peint grandeur nature.





vendredi 9 janvier 2015

Genty

A là demande générale, la façade du magasin d'alimentation tenu par Madame Genty jusque dans les années 1980.

Tigre de papier


Le péril jaune, çà ne fait plus aussi peur qu'avant....

Nevers, Faubourg du Grand Mouësse.

mercredi 7 janvier 2015

Comme une lettre à la poste..

                 Auparavant se trouvait en face l'ancienne poste de Clamecy, et  ce commerce était... le Bar des PTT.
   


mardi 6 janvier 2015

Le grand Rex.




Varzy :plaque  posée en 1975 par le Groupe d’Emulation Artistique.



Né en avril 1914  à Varzy; Paulin Rex Jack Barrat, fils de Marius Barrat, photographe, cafetier, et de Marie-Louise Pautrat. (Son grand père, Edmond, a créé à Varzy un atelier de photographie et réalisé les premières cartes postales)
.

La maison natale de Rex Barrat  à Varzy, au début du 20ème siècle


Le café Barrat dans les années 50 (qui sera vendu par sa veuve à la mort de l'artiste)


     Il est initié au dessin et à la peinture à l’age de 10 ans par son voisin, l’artiste-peintre Alfred Garcement.
  A vingt ans il participe à l’exposition du Groupe d’Emulation Artistique du Nivernais, auquel il adhère. ( Il s’associera à toutes ses expositions jusqu’en 1973) .  Il participe alors  à ses premiers premiers salons, à Paris. Il prend part à la décoration du pavillon Berry-Nivernais, lors de l’Exposition Internationale de 1937 à Paris  avec une représentation de l’Yonne et du canal à Clamecy.



    En 1939 il est mobilisé à Dijon comme infirmier.  Dans les années 50 , Il décore des salles et couloirs de la société des Produits Chimiques de Clamecy (S.P.C.C.) et le théâtre de Bagatelle. Et réalise pour cette même  S.P.C.C. seize panneaux «Synthèse du Labeur, des Machines et des Hommes».



  En1955 il reçoit les Palmes Académiques,  et  décore le buffet de la gare de Nevers d''une toile de grandes dimensions   aujourd'hui exposée au musée de Varzy.


    Il décède le 21 Décembre 1974 à l'hôpital de Créteil où il a été transporté à la suite d’une opération effectuée -apparemment pas très bien-  à la clinique Saint-François de Clamecy.


samedi 3 janvier 2015

Nulle part. Ailleurs.

 Des plans de plus en plus serrés sur l'aiguillage pas très utilisé de la bifur vers   Nevers à gauche ou Entrains ( Cosne...) à droite.