... On a perdu la trace des Niverna's , artistes locaux des années 20...
Né en 1858, le luthier cosnois Etienne Marette réalise aussi des violoncelles pour la maison Marcel Vatelot, qui a ouvert son atelier en 1909 à Paris (le père du célèbre luthier Etienne Vatelot)
Allez , encore une petite vue de crue à Clamecy en janvier 1910
La vue est prise à peu près -> d'ICI!
années 80... remise du trophée d'un tournoi de billard au Billard Club Neversois.
Achille Millien décède à Beaumont le 12 janvier 1927
l'enterrement de Achille Millien |
Après la peu glorieuse guerre franco-prussienne de 1870-1871, la municipalité de Decize, sans doute désireuse de participer à la future reconquête de l'Alsace-Lorraine, demande l'établissement d'une caserne dans ses murs. La ville n' abrite plus de garnison permanente depuis le XVIIe siècle. Au premier examen, l'État-Major décide que Decize recevra une simple compagnie du 56e régiment de ligne, lui même en cours de reconstitution. Le casernement est un moulin désaffecté à l'extrémité du faubourg Saint-Privé, puis un bâtiment situé derrière la mairie... Pas de quoi faire les fiers, ni impressionner les Prussiens.
En 1874, Decray, maire de Decize reçoit une demande de l'officier responsable du génie à Bourges : une caserne permanente va finalement être construite à Decize aux frais de la ville qui lance aussitôt un emprunt afin de réunir les 250 000 francs demandés pour l'achat du foncier et les travaux.
La construction est achevée fin 1877: la caserne va héberger un bataillon (c'est déjà un peu mieux) détaché du 13e Régiment d’Infanterie, basé à Nevers dans la caserne Pittié . Il est sous les ordres d'un certain Commandant... Le Lorrain.
La caserne reçoit le nom de Louis Charbonnier (1754-1833) général aux piteux états de service, au patronyme à l'orthographe incertaine, et dont le seul mérite est d'être d’origine nivernaise. L'indispensable terrain de manœuvres est louée à l'administration aux Ponts-et-Chaussées rive gauche de la Loire, dans l' île de Caqueret.
L'expérience tourne court : les fontes produites à Montluçon ne donnent pas la qualité désirée, probablement à cause de l'excès de phosphore contenu dans le minerai de fer extrait localement. Il faut donc y utiliser de la fonte fabriquée à partir du minerai de fer d'Espagne ou d'Afrique du Nord. L'usine de Saint-Seurin ferme en 1867, ses fabrications sont transférées à Imphy, puis le fameux procédé des convertisseurs Bessemer est expédié à Montluçon en avril 1870: le convertisseur y traitera directement la fonte à la sortie des hauts-fourneaux locaux. Sans avoir à re repasser par une coûteuse phase de deuxième fusion, on espère obtenir l'acier moins cher.
Mais contrairement à beaucoup d'autres implantations sidérurgiques des alentours, l'usine d'Imphy reste en activité et son fonctionnement est suffisamment satisfaisant pour permettre en 1881 l'installation de fours dit « Martin » qui refondent les ferrailles et les chutes de métal notamment pour la production de l'acier à ressorts.
Catalogue des acières d'Imphy de 1887 . |
... début des années 80...des cheminots.... mais quelqu'un peut m'en dire plus ? Qui? que ? quoi? où?
Certaines personnes ont reconnu monsieur Marcel d'Anastasi (3ème à partir de la gauche avec un col noir) employé aux ateliers de Vauzelles..
A droite tenant la couronne de fleurs ,Robert Gagnard chef de gare .
Le 4 janvier 1916, la Grande Guerre est loin d'être terminée, et les breloques n'y changeront pas grand-chose, à Saint Pierre le Moutier comme ailleurs.