347km en 3ème classe pour Noël

 

.... avec un aller simple Paris Millay pendant la guerre, le 28 décembre 1942

Crèche vivante

Varzy 

 

Départ en vacances de Noël

 

Réservoir Tannay

Un pont trop loin

 ... retrouvé dans de vieux papiers, un manifeste pour le deuxième pont à la Charité.

Réchauffons nous pendant l'hiver

 

Cosne 1938

Delayance

 

ex. Guiblin

Gateaux du Pont

 

Révérend logé

 

Dornes , Ponsard loge à pied et à cheval

Flocons à Dornes

 

Dornes vers 1900

Wagons

    Les historiques Forges de Fourchambault  créées en 1822 au 54 quai de Loire par les frères Boigues  cessent leur activité le 31 octobre 1901. Elles n'emploient alors plus que 238 ouvriers sur les 4000 qu'elles comptaient  à la grande époque. Les ateliers sont rachetés par la société Magnard pour y  fabriquer du matériel pour l'armée puis à partir de 1916 des wagons sous la dénomination Le Matériel Roulant.

wagon atelier pour le P.L.M.

   En 1924 les usines sont mises en liquidation et l'ensemble du site est détruit.

Un coin du village à Dhéré

 

Blue jeans

Pub de 1980

 

Hôtel... de quoi?

 

Chaulgnes (58)

hôtel du Commerce, bien sûr...

Tenu par les Pasquet, les Bachelier, les Fèvre.

Fauve dangereux

Nevers

 

J'irais revoir mon Normandy

 ... à Pougues les Eaux.

1930

1942

1960

2020

Bikers à Fourchambault

 

vers 1930 devant le café Guyot, rue Gambetta

maintenant

Paul et Louis Renault, photographes

       Paul  Renault est né le 9 octobre 1869 à Pellevoisin (Indre) où son père est meunier. Il est d’abord clerc de notaire à Hautvillers (Marne) puis, en 1903, sa famille s’installe à La Charité-sur-Loire (Nièvre). Paul Renault y reprend la succursale locale de son confrère, le photographe  Lachambre de Nevers. 

   Son atelier est établi 2 rue des Ecoles, et il réalise surtout des portraits et des photos de mariage. 

    Il poursuit sa carrière jusque quelques années après la Première Guerre mondiale avant de céder son affaire à son fils Louis (1896-1978). Paul Renault est décédé à la Charité le 21 septembre 1946

Talbot

 

En 1980, le concessionnaire Talbot officie au 78 avenue Colbert, là où se trouvera plus tard le Super U, aujourd'hui fermé.

Au Buffet de l'Aérodrome.

 

.... 1911 , sur l'aérodrome du Peuplier Seul (ou Cheutinville)

Rétamés

 

Famille de rétameurs au début du XXème siècle

Serpent de mer

 ... déjà en 1957, on se penche sur les limitations de vitesse...

Un drone pour Noël.

     Maurice Coudray est né en 1905, à Veaugues dans le Cher, où son père tient la pharmacie du village.

     Ses études l'emmènent jusqu'à l'école d'ingénieurs des Arts et Métiers, mais il n'est pas réellement fixé sur l'orientation à donner à sa carrière  Sa mère, qui l'a vu très jeune bricoler des maquettes avec les morceaux  d'une épave d'avion, lui suggère alors de fabriquer des jouets. 

    En 1928, Maurice Coudray présente donc au concours Lépine, un nouveau modèle de gyroplane, c'est à dire d'un jouet figurant un avion en métal léger ( en général de l'aluminium ) actionné par un gyroscope lancé par une ficelle  et qui va tourner lentement grâce à la force centrifuge.  Coudray a perfectionné le système de lancement, le roulement de l'avion et la rotation de l'hélice, allant jusqu'à imiter le ronronnement  du moteur...  

Gyroplane  sur la base de l' Oiseau Bleu, l'avion de Mermoz

la toupie gyroscopique

   Maurice Coudray récolte un prix à ce concours  et crée aussitôt sa marque : Mécavion. « Imitation parfaite d'un avion en vol », vante la « réclame » sur le couvercle du coffret. Il s'installe quelque temps à Pouilly-sur-Loire puis déménage la production à Fourchambault. De nouveaux jouets sont mis sur le marché : des avions en fer à monter soi-même.   Avec leur moteur à ressort spécial Mécavion, ils  donnent  l'impression d'un appareil au décollage 

moteur Mécavion vu de dessous

  Chez Mécavion, on peut faire son choix  dans toute une gamme, depuis  le grand modèle - et son manuel d'instruction de trente-deux pages  destiné aux dix-huit modèles de la marque - jusqu'au « Mécavion Baby »   

collection personnelle

  Les années 1930  marquent l'apogée de la marque qui emploie jusqu'à une quarantaine de salariés et produit environ 40 000 jouets par an.  Pendant la seconde guerre mondiale, la production se poursuit, mais à très faible cadence , aluminium et clientèle se faisant rares, l'entreprise survit en se reconvertissant dans la cartonnerie et l'emballage.

 

 Après la guerre, Maurice Coudray déménage à Arsonval dans l'Aube, il monte une seconde usine à Amboise. L'aventure de la marque se poursuivra jusqu'en 1961... l'avion en métal succombant alors aux assauts de son petit frère en matière plastique.

 

Vieux Framboisy

   Le Vieux Framboisy est un hameau au sud de Pouilly-Sur Loire. L'Auberge, en fait une guinguette le long de la nationale 7 où on servait du Blanc-Fumé, le vin local  récolté juste à côté,est inaccessible depuis l'autoroute A77,et   n'existe plus....

 

l'Auberge est à droite le long de la N7 sur cette photo du début des années 60

    A la place du "Clos du Vieux Framboisy" et de ces vignes, il y a... la base canoë.