mercredi 28 février 2018
Ballotage
Octave Le Peletier d' Aunay (1816-1899) entre dans la vie parlementaire le 29 février 1852, comme député de la 2e circonscription de la Nièvre, où il posséde des propriétés (dont le chateau de Marcilly, au sud de Corbigny)
Il s'associe à l'établissement du régime impérial, et vote pendant toute la durée du règne de Napoléon III avec la majorité des députés acquise à ce dernier .
Il est réélu comme candidat officiel du régime, en 1857, 1863 et 1869. Après une éclipse due à la fin du Second Empire, il revient en politique en 1876, élu député de l'arrondissement de Clamecy, toujours sur un programme impérialo-bonapartiste devenu entre-temps minoritaire.
Le renouvellement de la chambre des députés d' août 1881 lui est électoralement fatal: malgré une active campagne d'affichage, dont on voit ici un exemple, il échoue avec 8,040 voix, contre 8,916 à son adversaire de la Gauche Radicale le nommé Sylvestre Hérisson.
mardi 27 février 2018
lundi 26 février 2018
samedi 24 février 2018
Vieille église
Avant l'église de Bethléem construite en béton en 1927, les paroissiens des flotteurs de Clamecy disposaient de leur propre église paroissiale, construite vers 1820.
vendredi 23 février 2018
jeudi 22 février 2018
mercredi 21 février 2018
Glace
Février 1929 : il fait -25° C dans la Nièvre et la Loire est gelée sous le nouveau pont de Cosne qui vient d'être inauguré l' année précédente (il reste des éléments d'échafaudages et la passerelle provisoire)
mardi 20 février 2018
lundi 19 février 2018
dimanche 18 février 2018
samedi 17 février 2018
vendredi 16 février 2018
jeudi 15 février 2018
Cà n'a pas trop changé
mercredi 14 février 2018
mardi 13 février 2018
lundi 12 février 2018
dimanche 11 février 2018
Gimouille
samedi 10 février 2018
Aiguillé vers nulle part
vendredi 9 février 2018
jeudi 8 février 2018
mercredi 7 février 2018
mardi 6 février 2018
Fileuses du morvan
lundi 5 février 2018
La grande évasion
En 1987 , les cars Mercure de Chateau-Chinon rachètent les célèbres cars Petit, de Fourchambault.... une bonne occasion d'éditer un pin's!
dimanche 4 février 2018
samedi 3 février 2018
n° 154
Octobre 1940, la camionnette municipale réquisitionnée pour les servitudes du camp |
Lors de l'invasion de la France en mai–juin 1940, quelques 1 800 000 soldats français sont faits prisonniers. Les Frontstalags servent à héberger tous ces prisonniers de guerre français, quelle que soit leur origine, avant d'expédier outre-Rhin (ou bien plus loin encore) les prisonniers de "souche européenne", à la fin de 1940, ou au début 1941. (le cliché ci dessous est pris avant ce transfert)
Laisser -passer de travail pour l'intérieur du camp et dans la ville de Fourchambault |
Ordre de libération du camp d'août 1940 (pour incapacité à combattre) |
A partir de ce moment les Frontstalags sont "réservés" aux prisonniers issus des colonies, considérés par les Nazis comme des « sous-hommes » et ne devant pas souiller le sol allemand.
Pendant la 2 ème guerre mondiale, le camp de prisonniers de Garchizy-Fourchambault, appelé Frontstalag N° 154, est le plus grand camp de la Nièvre.
Il est installé dans l'ancienne usine dite "du Matériel roulant" construite en 1916 pour y fabriquer des wagons de chemin de fer.
Le Frontstalag de Fourchambault abrite une majorité de nord-africains que les autorités allemandes décident d’utiliser pour les travaux agricoles à partir du printemps 1941.
le même endroit avant la guerre |
En novembre 1941 un accord est conclu entre le gouvernement de Vichy et les autorités allemandes qui permet la libération et le rapatriement au pays de bon nombre d'entre eux..
Pour son aide aux nombreux prisonniers de guerre français et coloniaux internés dans cette ancienne usine (en les ravitaillant ou en les aidant à s’évader), la ville de Fourchambault est distinguée de la Croix de Guerre en 1948. La décoration est lors des commémorations du 8 mai 1949 par François Mitterrand alors Ministre des Anciens Combattants
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