Maison Mitton au Grand Café

 ... à Saint Révérien.

autour de 1910

En 2023-> ICI.

Sur le pont de Cosne vers 1910

 

Cosne sur Loire

La Pluie est à Clamecy

 

... c'est le nom de la péniche

Quatre rameurs , un barreur.

 ... sur le bassin du canal du Nivernais à Flez-Cuzy

Le Nohain débordait

 

Donzy

Air pur et route buissonnière

 

A Yopson

 ..un  hameau de  Challuy.

1919

2012

2023

A l'entrée de la ville

 

Chatillon en Bazois,  1937

A la vôtre

 

Renard du Grand Marché

 

Clamecy 1910

Clamecy 2023

Trio et Duo à Cosne

 ... au 33 rue Saint Jacques.

avant, chez Dupuis vers 1910

maintenant

Pôle emploi à Luzy

 

 

   Au début du XXème siècle, à Luzy, l'embauche  saisonnière des travailleurs de ferme et du personnel de maison  -   la Louée- se fait place de l'Egalité (!)  (maintenant place de du 8 mai 1945).

    La Louée se pratiquait surtout sur les- places et  champs de foire à des périodes de l'année spécifiques  A la Saint Jean, quand approchent fenaisons, moissons et  battages, à la Saint Michel pour les vendanges-en pays de vignobles-, et  les labours  et semailles d'automne  ou à la Saint Martin pour le travail forestier  et les tailles d'hiver.

19 octobre 1846

 

Quai de Mantoue

   En 1846, la Loire a connu une crue historique,  la plus forte crue  recensée en débit  Entre le 15 octobre  et le 18 octobre au matin, le bassin de la Loire situé en l’amont de Villerest subit en continu des orages de type cévenol, générant une onde de crue dont le maximum  atteint  6,33 m à Nevers le 19 octobre. Les digues y sont victimes de dommages importants. L'eau passe par dessus la levée de Saint-Éloi ,  y générant quatre brèches d’une longueur totale de 464 m et les basses rues de la ville de Nevers sont inondées. Sur la rive gauche, la levée de Sermoise est également ouverte en cinq endroits et la route de Lyon ( future  nationale 7) est coupée, mais la libération du flot de la crue à cet endroit permet au  pont de Loire de  résister. 

Cross culture

 

Affutage

 

Cosne sur Loire, vers 1950

Rencontre du 3ème type

 En 1848, depuis son ballon captif, le peintre et graveur Alfred Guesdon a la chance d'immortaliser une escadrille d'aliens  survolant Nevers dans leurs soucoupes volantes carrées.

médiathèque Jean Jaurès...

Boite à fumée

 

nettoyage sur une 141R au dépôt de Nevers

Prends donc la porte

 

Saint Pierre le Moutier au début du XXème siècle

  

   La porte visible au centre de la photo  est celle qui menait  depuis 1640 à l'ancien prieuré bénédictin en marquant la limite entre le monde profane  et la vie religieuse  du couvent. 

  Au début du XX e siècle, la porte est démontée et le quartier remanié  pour faciliter la circulation en centre ville. 

de nos jours

  Les pierres, mises aux enchères en 1925 sont acquises  par le syndicat d'initiative et la porte reconstruite en1928 en bordure  du parc des promenades, où elle se trouve toujours. 

la porte remontée, dans les années 60, elle a été rénovée en 2017

Pas comme à Séville

Decize , 1949, un précurseur de "l'infame Schumacher"

Supermarché

 

Cosne en 1980

Exorciste

Trouvé dans la boite aux lettres...

 Aucun lien de parenté (ou professionnel )  avec Mgr Brac ( de la Perrière)  , ancien évèque de Nevers, à qui on peut sans doute  s'adresser en cas de possession ( et de procession aussi, d'ailleurs...)

En selle à Nevers

 

Restaurant coiffeur

Restaurant Gondoux à Garchizy, avant

 

Garchizy , maintenant

Le 13ème au son du clairon

 

Murgers

 

La ferme des Murgers en 1925

 Le domaine des Murgers, actuellement sur la Commune de Varennes-Vauzelles,est propriété de l'Hôtel-Dieu de Nevers  depuis 1598 , et atteint sa surface maximum à la fin du 18ème siècle, avec 128ha de terres plus quelques vignes . Les terres sont  "louées"  à des fermiers  qui s'acquittent de leur loyers essentiellement sous forme de produits agricoles.

  

 A partir du 19ème siècle,  le domaine des Murgers est progressivement  grignoté . En 1858,  puis 1862, le réseau du P.L.M. achète  un peu plus de 4 ha pour y construire les lignes de chemin de fer  Nevers- Moret  (via la Charité, Gien, et Montargis)   et Nevers-Auxerre ( via Clamecy) .

 En 1920 la CGPEM - les ateliers de Vauzelles-  en achètent 3 ha pour y  construire une partie de la cité cheminote du PLM. Puis 8ha sont vendus en 1934  comme part du terrain de l'aéroport de la Sangsue.

  En 1939 le Ministère de l'air réquisitionne puis achète en 1942  via les Ponts et Chaussées les 15ha du site de la    Centrale N.

 La ferme des Murgers à servi au début de la guerre de 39-45 de lieu d'internement  pour les étrangers "ennemis" originaires  surtout d'Allemagne  et d'Autriche .  Selon certaines sources  l'écrivain et philosophe Walter Benjamin y aurait séjourné  entre  début septembre 1939  et 23 novembre dans des conditions précaires.

   En 1943, 16ha sont ensuite distraits de l'ensemble pour y installer le  nouveau cimetière de l'Aiguillon. 

    Un artisan boucher  devient propriétaire des 59ha de la zone dite "du Domaine" ou "de la Réserve" en 1957, et les propriétaires actuels , la famille de Coligny se rendent acquéreurs  en 1959 de la dernière parcelle d'une surface de 20ha appartenant encore à l'Hôtel-Dieu ( devenu entre-temps l'Hôpital) de Nevers, celle dite "du Château", dont ils étaient déjà les fermiers. 

de nos jours

Jeux sans frontières...

 

Chateau de Machy, 1940, occupé par la Wehrmacht

collection personnelle

  Situé sur la commune de Sauvigny-les-Bois près de l'étang éponyme, le château de Machy a ensuite accueilli une école de plein air, des colonies de vacances SNCF jusqu'en 1955, et un centre aéré de 1970 à 1981. 

le Centre Aéré

de nos jours, une  propriété privée qui ne se visite pas

On veut racheter un gros club en difficulté?

 

Cinquantenaire

      En 1931,  on fête le cinquantenaire de l'école laïque de Livry fondée en 1881  (la loi Jules Ferry sur l'instruction obligatoire  sera promulguée l'année suivante)

Le 85ème revient à Cosne!

 

On consolide à Donzy le Pré

 

Eglise Notre Dame du Pré  en 1941

Hippolyte et ses tonneaux

 

Donzy, vers 1900