Aéroplanes

  Le 31 juillet 1932, meeting aérien à Nevers  sur l'ancien aérodrome du Peuplier Seul....

Caudron à moteur Renault 95cv

Amiot 750cv

Le bonheur est dans le près.

Indéfrisable Casanova

Exil

Quiberon

photos: Nerev'art

Rendez-vous

Juillet 1966 .
La 241P 15 est en tête de l'express 1113 à destination de Clermont .
Elle  croise en  gare de Saincaize le 1114 qui remonte dans l'autre sens, tiré par la 241 P 7

Competition

Bip-bip.

commerce multicasquettes à Sermoise dans  les années 40, à la Bonne Dame

  Lucien Balouzat commence par assembler et commercialiser  les cycles Magistral  puis s'oriente vers la TSF quand le marché du vélo est monopolisé  par les grandes marques.

Chauffards depuis 1963...

   Le mois de juillet 1963 fut meurtrier sur la N7 et les autres routes de la Nièvre. (Le trafic dépassait les 1000 véhicules/ heure)...et les responsables des accidents n'étaient pas nécessairement ceux qu'on aurait attendus..

Abonné au progrès

Feuille de vigne

   Léon Nevers....  père d'un autre sympathique imposteur  Emile Nevers

Buvons

Donzy, place Gambetta

Ventilation

Nevers , ancienn piscine des Bords de Loire ,

Ch.I.C.

Cessy les Bois

La loi du 21 mai 1836, dite de Thiers-Montalivet, crée la voirie vicinale décomposée en deux catégories , selon leur mode de finacement et d'entretient :
 D'abord  la voirie communale non classée (chemins ruraux, voirie communale)   entièrement à la charge des communes puis les chemins vicinaux classés: chemins de grande communication ou "CGC", chemins d'intérêt commun ou "C.I.C",(comme ici,). et chemins vicinaux ordinaires.
 àla charge des communes mais subventionnés par le  Conseil général, et administrés par  la Préfecture.

 Celle classification reste en vigueur jusqu'au  décret-loi du 14 juin 1938  qui regroupe les Chemins de Grande Communication et Chemins d’Intérêt Commun avec les routes départementales dans l'unique catégorie des chemins départementaux (CD), qui sont propriété du département et ne sont plus   à la charge des communes.

Renversé

Fourchambault

Turbo

Eté  1994: le turbotrain Nevers-Dijon fait halte dans la gare morvandelle de Rémilly, encore desservie par le rail .

Ceci n'est pas un serpent

Orvet Fragile (Anguis Fragilis) dans un pierrier en bord de Loire.

La ligne noire sur le dos suggère qu'il s'agit là d'une femelle

Dernières Mountain

Félix Matinier, chef mécanicien au dépot de Nevers.

  Chauffeur et mécanicien de la 241 P 7, au dépot de Nevers, le 7 janvier 1969 lors du départ du dernier express vapeur à  destination de Paris.

Kebab inclusif

Nevers

Dong

   Dépot du PLM à Nevers en 1888: armé de son marteau,  un  employé vérifie à l'oreille la bonne qualité du bandage de  cette roue. Celui ci, qui constitue  la bande de roulement,  est rapporté à chaud sur la roue (l'ensemble essieu, roue / bandage n'est pas monobloc à cette époque : seul  le bandage est en acier suffisamment   dur pour résister à l'usure roue-rail.  ) 
 Les "sonneurs" vérifient si la  bande de roulement est bien serrée sur la roue en tapant dessus au marteau, si l'assemblage a du jeu, le son rendu  est différent. Les bandages mal serrés, en chauffant  se dilatent  ne serrent plus la roue et rendent le freinage inopérant, quand ils ne se détachent pas purement et simplement faisant dérailler le wagon.
 Dans certains pays,  cette technique est toujours utilisée.
  Cette opération de contrôle , effectuée  notamment au Technicentre de Vauzelles, utilise aujourd'hui un système  magnétique.
   Le sonneur porte des sabots, non parce qu'il n'a pas les moyens de se chausser convenablement , mais par mesure de protection : à cette époque les sabots en bois sont les seules chaussures de sécurité un tant soit peu efficaces disponibles.

  Je suis particulièrement content d'avoir trouvé cette photographie. D'abord par ce qu'elle est ancienne, rare , en très bon état et qu'elle représente une scène réelle du patrimoine ferroviaire local.
  Ensuite parce que ce cliché envoyé par la poste  a été perdu pendant plus de 2 mois, effectuant un vrai tour de France avant de revenir  à son expéditeur.... qui  a finalement réussi à me le faire parvenir.

Médicaments périmés

 Le bâtiment   de la pharmacie Hurbain n'existe plus , il a été repris par les emprises de l'actuel Monoprix

A droite , partiellement visible, l'entrée du grand café occupée par le magasin Jules et plus avant par le magasin de jouets Micky

Casper sur Loire

Balbuzard fantome

Une journée de malades à Corbigny

 En 1960, l'évèque Flynn dirige une Jounée de Malades à Corbigny. C'est une sorte de de "pélerinage à Lourdes" organisé directement sur place chez ceux qui ne peuvent se déplacer  là bas. 

   Depuis 1992, à l'initiative du pape Jean-Paul 2, l’église catholique  célèbre la Journée Mondiale du Malade  le 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes..

L'école n'est pas finie

Tous les soirs de 19.00 à 21.00.

demandez le programme!

Honorable

   Une maitrise est traditionnellement une école attachée à une cathédrale ou à une église importante, et où des enfants  (uniquement des garçons..et en général de la bourgeoisie) sont  formés à la musique et au chant religieux et reçoivent une instruction générale et religieuse.

  Après les années difficiles ayant suivi  la révolution française et les guerres napoléoniennes , puis  les troubles du 19ème siècle.. et le manque d'argent,  le Second Empire adopte une politique plus favorable à ces établissements   En 1860, le chanoine orléanais Pelletier  réunit à Paris le "Congès de la Maitrise.": le recrutement se fera dorénavant   sur concours, les maitrises offriront un enseignement gratuit aux élèves défavorisés doués pour  le chant et assureront ainsi une base de recrutement plus large.

   Les directeurs de la Maitrise de la Cathédrale de  Nevers  sont les frères   Jean - Baptiste et Auguste  Perreau  (tous deux sont abbés et chanoines  ). A  la fin de 19ème siècle , ils  sont donc les artisans du renouveau du chant religieux  à Nevers.
  Jean - Baptiste  (1843-1920 ) est maitre de chapelle (le chef de choeur) et directeur  de 1868 à 1920 , son frère Auguste  (1845-1931),  tient le grand orgue  de la cathédrale jusqu'en 1928  (il a alors 83 ans...).
  

 Quant à Gabriel Lagrange... on a perdu sa trace.

Vacances du rail