Au petit matin brumeux le silo d'Arzembouy s'éveille..et , évènement peu fréquent, le passage à niveau mitoyen fait retentit sa cloche, les feux rouges s'allument et clignotent, les barrières s'abaissent.
L'automobiliste ébahi s'arrête : mais que se passe-t-il sur ce bout de ligne où on ne voit jamais rien?
Un couplage de diesels vient de livrer son convoi de wagons Transcéreales vides,..et repart vers Nevers. Il reviendra dans quelques jours chercher son chargement de blé ou d'orge...Mais, pour l'instant, encore quelques secondes, le silence va revenir, laissant le champ libre aux corbeaux . (Et aux renards,... aussi..).
Bonjour,
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour ce reportage qur cette ligne bucolique !
Je suis passionné de trains, et je souhaiterais aller le photographier.
Avez-vous les horaires et les jours de passage ?
Merci beaucoup pour votre aide !
Cordialement,
A.L.
La ligne n'est fréquentée qu'épisodiquement pour un trafic de céréales vers ce silo (quelques trains par mois en automne/ hiver )
RépondreSupprimerCeci étant, il doit y avoir un accès aux horaires,... puisque , malheureusement, certains parviennent quand même à se suicider sur cette ligne.
http://www.lejdc.fr/nievre/actualite/pays/val-de-loire/2014/11/05/un-desespere-se-jette-sous-un-train-sur-la-ligne-premery-nevers_11205544.html