Plutôt que de le paraphraser, laissons Philippe B, ancien habitué, témoigner:
"La Poutre appartenait à Monsieur Chabeau , un homme d'environ 55 ans quand j'en avais 20 en 76. Egalement propriétaire d'un magasin d'articles de sports d'hiver dans les Alpes, à Courchevel, on le voyait surtout aux beaux jours. Le bar-grill et la discothèque en sous-sol avaient des entrées différentes, mais un petit escalier "avec des portes saloon", au fond d'une piste de danse en bas, permettait à des habitués de monter prendre un verre au bar du haut à un tarif plus abordable ! En bas, deux grandes portes conçues sans doute comme des issues de secours, s'ouvraient l'été pour laisser rentrer un peu d'air et désenfumer, donnant sur une terrasse avec piscine dans laquelle beaucoup ont, une nuit ou une autre, été balancés tout habillés ! Toute une époque..."
Dicton de l'époque : "Quand on voit les filles danser, on a la poutre"
RépondreSupprimerHihihi !
SupprimerJe crois plutôt que c'est qu'au bar on s'accoudait à... une poutre de récup.
C'était quoi T.110 ?
Supprimerle n° de téléphone! (on est pas encore à 6 chiffres...)
SupprimerJe recherche une fille qui en 1976 , s’appelait Marie Noëlle , elle avait vingt ans à l’époque , sa sœur Catherine avait un salon de coiffure à Sancoins ( Cathy coiffure)
RépondreSupprimerJe recherche une jeune fille à l'époque qui s'appelait Anne Marie future mariée que j'ai connu à la discothèque la poutre en 1973 pendant le week-end de la Pentecôte mon prénom est Carlos
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