Avec quelques personnes rencontrées je ne sais plus comment ( il n’y avait pas d’Internet à l’époque…) nous éditions un fanzine nommé la « Fausse Bobine ». Il y avait dans de petit groupe des graphistes parisiens, Jonas, un fou de cinéma vénézuélo-lithuanien, Gudrun, une fan de littérature d’Europe Centrale, qui faisait office de rédac'chef, Et aussi un type qui écrivait des chansons pour le groupe Parabellum : ll mesurait 2 mètres et portait toujours un imperméable kaki, et se faisait appeler le Géant Vert.
Pour essayer d’élargir la diffusion (confidentielle et aléatoire ) de notre périodique nous passions une partie de nos nuits à coller des affichettes publicitaires sur les murs dans le quartier de la Bastille, vers République, et dans le secteur de la place d’Italie.
C’est là que nous avons rencontré nos premiers pochoirs collés de Ernest Pignon-Ernest avec ses portraits de Rimbaud caractéristiques qui ponctuaient nos petites escapades .
Nous, on essayait de poser nos affiches pas trop loin (mais pas trop près non plus ) de ses pochoirs. L’idée était qu’on puisse voir les deux d'un même coup d'oeil. Ernest-Pignon- Ernest c’était donc pour nous un personnage à la fois mythique et familier, avec un nom bizarre qui aurait pu être un pseudonyme.
C’est là que nous avons rencontré nos premiers pochoirs collés de Ernest Pignon-Ernest avec ses portraits de Rimbaud caractéristiques qui ponctuaient nos petites escapades .
Au Palais Ducal de Nevers jusqu'au 8 décembre |
Nous, on essayait de poser nos affiches pas trop loin (mais pas trop près non plus ) de ses pochoirs. L’idée était qu’on puisse voir les deux d'un même coup d'oeil. Ernest-Pignon- Ernest c’était donc pour nous un personnage à la fois mythique et familier, avec un nom bizarre qui aurait pu être un pseudonyme.
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