Né en1920 à Lézinnes dans l'Yonne, Max Nevers fréquente très tôt les salles d’entraînement de boxe et de catch, et termine finaliste au championnat de catch de Bourgogne d’avant-guerre.
Il entre dans la Résistance dans l’Yonne en janvier 1941, au sein des FTPF (Francs-tireurs et partisans français). Il devient chef du réseau de l'Yonne puis de la Côte d’Or et d’une partie de l’Aube. Alors qu'il prépare une action de sabotage des voies de chemins de fer , il est arrêté avec d’autres résistants et envoyé à la prison de Dijon. Il y reste huit mois, puis il est transféré au camp du Struthof, dans les Vosges via le fort de Romainville,en juillet 1943. Il y jouera un rôle très actif dans l'organisation de la résistance interne et de l'entraide entre prisonniers.
Le camp du Struthof est évacué sur Dachau en septembre 1944 devant l'avance des Alliés. Max Nevers est ensuite transporté à Auschwitz-Birkenau puis de retour à Dachau il est libéré par l'armée américaine en avril 1945.
A la Libération , il est un temps compagnon de route du Parti Communiste avant de s'en éloigner au cours des années 50.
Max devient responsable de la section boxe du Sporting Club d’Amboise. Elu président du club, il reçoit la médaille d’or de la jeunesse et des sports.
De 2002 à 2009, année de son décès, Max Nevers sera aussi Président du Comité International du Camp de Concentration Natzweiler - Struthof , organisation regroupant depuis 1971 les amicales d'ancients déportés belge, française, hollandaise, luxembourgeoise et norvégienne . Ce Comité est à l’origine, avec les Présidents des autres Comités internationaux de camps, de la résolution du Parlement Européen du 10 février 1993 « sur la protection européenne et internationale comme monuments historiques des sites des camps de concentration nazis ».
Une rue de la ville d'Amboise porte son nom.. Il n'est pas dit qu'il ne pas soit un jour passé par Nevers....
Il entre dans la Résistance dans l’Yonne en janvier 1941, au sein des FTPF (Francs-tireurs et partisans français). Il devient chef du réseau de l'Yonne puis de la Côte d’Or et d’une partie de l’Aube. Alors qu'il prépare une action de sabotage des voies de chemins de fer , il est arrêté avec d’autres résistants et envoyé à la prison de Dijon. Il y reste huit mois, puis il est transféré au camp du Struthof, dans les Vosges via le fort de Romainville,en juillet 1943. Il y jouera un rôle très actif dans l'organisation de la résistance interne et de l'entraide entre prisonniers.
Le camp du Struthof est évacué sur Dachau en septembre 1944 devant l'avance des Alliés. Max Nevers est ensuite transporté à Auschwitz-Birkenau puis de retour à Dachau il est libéré par l'armée américaine en avril 1945.
A la Libération , il est un temps compagnon de route du Parti Communiste avant de s'en éloigner au cours des années 50.
Max devient responsable de la section boxe du Sporting Club d’Amboise. Elu président du club, il reçoit la médaille d’or de la jeunesse et des sports.
De 2002 à 2009, année de son décès, Max Nevers sera aussi Président du Comité International du Camp de Concentration Natzweiler - Struthof , organisation regroupant depuis 1971 les amicales d'ancients déportés belge, française, hollandaise, luxembourgeoise et norvégienne . Ce Comité est à l’origine, avec les Présidents des autres Comités internationaux de camps, de la résolution du Parlement Européen du 10 février 1993 « sur la protection européenne et internationale comme monuments historiques des sites des camps de concentration nazis ».
Une rue de la ville d'Amboise porte son nom.. Il n'est pas dit qu'il ne pas soit un jour passé par Nevers....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire